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Agreenium couvre en effet les organismes du supérieur et les organismes de recherche Inrae et Cirad. Comme nous ne sommes pas nécessairement légitimes pour nous tourner vers l’enseignement technique, une impulsion de la tutelle reste nécessaire. Il y a quelques années, la filière agronomique était davantage recherchée dans le classement de sortie des concours que la filière vétérinaire. Dans les années récentes, j’ai vu que le rapport s’était inversé, avec un afflux massif de jeunes femmes et de jeunes hommes vers la filière vétérinaire, plutôt que vers les études agricoles. Tant mieux pour le secteur de la santé animale, qui est necessary pour la santé globale, mais cette motivation a peut-être été extreme par rapport au marché de l’emploi, tandis que le marché agricole a pu moins faire rêver.
Sans nous disperser et en nous assurant que les chercheurs se concentrent sur leur travail de recherche, cette query mériterait d’être évoquée dans certains écosystèmes. Nous pourrions pour cela nous appuyer sur nos liens avec l’École nationale supérieure de formation de l’enseignement agricole ou avec les écoles du supérieur, qui sont elles-mêmes connectées à l’enseignement technique. Ainsi, des chercheurs pourraient participer à des campus en présentiel ou à des campus numériques, pour faire passer de façon un peu plus régulière les avancées de la recherche et pour valoriser et associer les jeunes à nos programmes de recherche. Nos unités mixtes de recherche associent par exemple des enseignants-chercheurs des différentes écoles d’agronomie, des écoles vétérinaires, de l’Institut Agro ou d’AgroParisTech. De futurs ingénieurs ou doctorants travaillent directement dans nos unités de recherche, pendant leur cycle de formation supérieure. Cette pratique reste évidemment plus rare dans les formations methods, mais je pense que nous pouvons aussi trouver ici de nouveaux modes de partenariat.
L’enrichissement des questions abordées peut se faire à la fois par les élèves et par l’enseignant.e. Ici se pose la query de la nécessaire articulation de l’éducation aux médias et à l’information avec les questions socialement vives . La didactique professionnelle identifie des classes de conditions professionnelles et vise à dégager des invariants opératoires (buts, objets à transformer, conditions de réalisation), qui permettent de faire face à ces conditions. Les conditions professionnelles significatives issues de ces analyses peuvent être représentatives, emblématiques, critiques ou à risque et permettent de construire des conditions d’apprentissage professionnelles. La progressivité de ces apprentissages pourra être générée par des variabilités dans les échelles d’application, les modalités ou les courses de situations.
Valéry MALECOT, élève de l’Institut national d’Horti¬culture d’Angers, pour son mémoire sur l’approche systématique et phylo-génétique du style Viburnum. Fabien BROCHIERO, élève de l’École nationale du Génie rural, des Eaux et des Forêts de Nancy, pour son mémoire sur l’écologie et la croissance du pin d’Alep en Provence calcaire. Valérie MONTEUX, élève de l’Institut supérieur d’agriculture Rhône-Alpes, pour son mémoire sur l’induction artificielle de la lactation chez deux pouliches de la race Quarter Horse. Rémi CASTERAS, élève de l’Institut national agronomique Paris-Grignon, pour son mémoire sur l’affect du pH sur le devenir de l’atrazine dans un sol. Bourse de euros à Cédric TENTELIER, pour effectuer, dans le cadre d’une thèse, un stage au Centre de biologie et de gestion des populations de Montpellier.
L’Académie couronne la 153e édition du BON JARDINIER, ouvrage collectif publié sous la course de Jean-Noël BURTE et édité par la Maison Rustique. Le Bon Jardinier est resté, au fil des temps, un manuel de référence pour les professionnels, pour les étudiants et pour tous ceux qui vivent la ardour de la botanique et de l’horticulture. Cette édition intègre les dernières découvertes et les nouvbelles techniques au patrimoine des connaissances horticoles. Caroline LABOUCARIÉ, élève de l’École nationale du Génie de l’Eau et de l’Environnement de Strasbourg, pour son mémoire sur la modélisation des transferts couplés eau-nitrate dans une parcelle conduite en maraîchage sous climat méditerranéen. Laurence CRETENOY, élève de l’École nationale du Génie de l’Eau et de l’Environnement de Strasbourg, pour son mémoire sur l’affect des peuplements piscicoles sur le fonctionnement world de l’éco-système lacustre. Damien RACLOT, élève de l’École nationale du Génie de l’Eau et de l’Environnement de Strasbourg, pour son mémoire sur la méthodologie de traitement SIG des photographies aériennes d’inondation appliquée à la basse vallée de l’Hérault.